Un loft version symbiose.

(Mais, pendant que Cromleck recherche un lit; Maxximmus lui cherche à s'occuper.)
<<J'ai faim!!>>
(Il commence d'abord à s'éclaircir la glotte quand soudain...)
<<PFFFFFFFF>>(Il recrache l'eau d'Amun.)
(La tronche de Castaldi était de retour!!)
<<BASTON!!>>
<<Castaldi: Non mon cher, pour commencer votre promotion, je vous ammène un invité spécial. Il arrive dans deux minutes.>>
(L'image disparaît.)
(Maxximmus s'interroge avec un regard troublé.
<<Mais quel maléfice va nous tomber dessus?>>
(Tout à coup, la porte s'ouvre, et l'invité arrive... il regarde Maxximmus d'un air un peu étonné.)
<<Bonjours, moi c'est Bertrand; Des... Noirs des'.>>
<<Maxximmus: oO!! Supertramp!!>>
A suivre...

< Pendant ce temps. Dans la chambre d'Astaroc >

...

...

... < Grincements de matelats >

...

...

PRENDS CA DANS TA FACE !!!!!

Enchainé sur un fauteuil du salon. L'air dépité, mal rasé... Comment il est arrivé ici, mystère. Mais il est là, l'humain. Je le contourne pour lui faire face.

-...Trom'ka humain.
Il relève vers moi des yeux fatigués, puis sa tête retombe. Sa respiration semble lente, fragile..
-Quel est ton nom, pourquoi es tu attaché? Quel est cet endroit?

Il semble lui-même perdu dans mille pensées. Il plisse un instant ses yeux, puis tout son visage se crispe comme s'il voulait chasser quelque sombre souvenir, puis les r'ouvre subitement sur les miens.
-Toi, qu'es tu? Il parle lentement, comme affaibli d'une blessure mortelle, mais son regard est franc et fixe comme celui d'un exalté. Suis-je arrivé? Est-ce enfin la Porte? Fais moi passer, je n'ai que trop attendu.
-Je suis druide, du peuple tauren. Je ne peux te dire où nous sommes car je l'ignore également.

L'humain part alors d'un rire attroce. Il semble dépossédé de lui-même quand il me crie:
-Hahaha! Mais non, pitiéééé, plus de mystères!! Dis-moi! Dis-moi que je suis arrivé! Des larmes perlent de ses yeux. Je veux en finir, tu m'entend, j'ai droit au repos! ...j'ai.. j'ai le droit d'oublier! puis sa tête bascule soudain comme celle d'un pantin et retombe, inerte..

Derrière moi, Amunrah me trahie sa présence en laissant échapper un souffle.

-...Le pauvre,.. c'est un prisonnier?
-Je ne sais pas, je ne sais rien...
-...
-Si c'est un prisonnier, alors nous sommes.. , alors je suppose que nous en avons la garde... La voix dans le poste ne nous a rien dit d'autre à son sujet.
-J'ai peur, qu'attendent-ils de nous exactement?
-... Crois moi qu'on ne va pas tarder à le découvrir.

-C'est un morceau de barbak, voilà c'que c'est! C'est un p.. d'allianceux venu ici pour nous fourvoyer. Pessimis ferme le poing sur la tignasse de l'homme et lui releve la tête. Il pue. Il sent le félon, comme tout ici. Je suggère de lui trancher la gorge avant qu'il ne l'ouvre sur des malédictions. Qu'en pensez-vous? On le saigne ce poulet? Je connais quelqu'un qui a grand faim de chair. dit-il en se retournant vers Melhopée avec un sourire carnassier.

Pourquoi pas, ce n'est qu'un homme après tout. Et puis fuck, qu'ils se débrouillent avec lui, j'ai toujours pas eu loisir de trouver un pieu dans cette taule, ces intrigues me donnent la nausée..

-Ne faites pas çà!

Boubba.. encore lui..

"" pendant ce temps la , a l etage un reprouvé s eveille ""

- grumbl ... grumbl de gueule bois ...

le mag , se tenant la tete a deux mains , esseyant veinement de se rappeler les evenement de la soiree precedent ... mais seulement la biere revenai dans sa memoire , ainsi que de fugitives visions d une elfe de sang tres caline l attirant chez elle ... il s etonna de ne pas la voir endormi pres de lui , la mort cachai en son sein une raideur capable d eteindre les feux les plus ardents du corps ...
du bruits ... en bas ... mal de crane ...
son esprit prenai petit a petit conscience de son environnement , il etais dans une chambre , seul , le jour s etait lever , et quelqu un lui tapai sur le systeme a pas vouloir la fermer et l empecher de decuver tranquil .
d un pas decider , il descendis l escalier , ouvrit une porte et se retrouva face a un humain

- et maintenant chere telespectateur voici ma ....
BLLLLAAAAMMMM
- NON MAIS C EST PAS UN PEUT FINI OUI ????

et maghnus de remarquer soudain se braquer vers lui plusieurs paires d yeux ...

Ne le tuez surtout pas!

-Oo'? Mais pourquoi? c'est juste un humain!

Non, justement, ce n'est pas juste un humain...

-"Nan mais dis donc, la guitare, la chasse d'eau et maintenant lui... je trouve que tu connais beaucoup de choses sur les humains, ne serais tu pas un espion envoyé par l'alliance ou ce personnage dans la télé?!" Pessimis et Crom commencent à perdre leur calme, je pense qu'il va falloir que je m'explique si je ne veut pas me retrouver six pieds sous terre...

-Et bien, en fait non, je ne suis pas un espion. C'est juste que avant d'etre un tauren, j'étais humain.

L'assemblé s'écrie d'une seule et meme voix : HEIN ?!! O.o'

Oui, je vais vous raconter...

Toute l'assemblée regarde Boubba attentivement, mais d'un air perplexe cependant.

Quand je suis né, je m'appelais Valten, j'étais un humain, et mes parents étaient explorateurs. Au cours de leurs voyages, ils étaient entré en contacts avec des tribus Taurens. Ainsi j'ai grandis en ayant des raports avec le peuple Tauren. Mais vous le savez bien, la vie suis son court, les Taurens entrèrent dans la Horde a l'aube de la troisième guerre, et moi je devint Paladin.
Quand la guerre fut finis et Archmonde vaincut, je repris contacts avec certains Tauren. J'étudiais également la voie chamanique, la trouvant pleine de vérité et de sagesse. Je fis alors le voeu d'etre réincarné en un Tauren si je mourrais au combat un jour.

Lors d'une de mes expeditions dans la vallée de strangleronce, une tribus de nagas me pris en embuscade, et seul je n'ai rien pus faire. Mon corps fut alors pris par Dame Nature.

Au meme moment à Mulgor naissait Boubba, fils de Mooshru. Il grandit et choisis la voix chamanique, et la suite...vous la connessez =)

Voila, c'est mon histoire, j'ai découvert la première partie il y a peu de temps, à force de meditation et de recherches.
Vous pouvez pensez ce que vous voulez a présent, mais vous ne pourrez pas dire que vous ne savez pas

( si c'est trop enorme vous le dites hein =p)

(Apres avoir enchainé quelques boissons alcoolisées fortes afin d'oublier l'angoisse qu'elle ressent face à tant de nouveautés et d'incompréhension, Amun est d'humeur joyeuse...)

- Je le trouve mignon cet humain, il a l'air si fragile, et si on jouait avec ?

(Amun un peu ivre se met à danser)

- Vient Maghnus, on va jouer avec l'humain. J'ai un super jeu !!!!
Ca s'appel "Combient de temps met un humain avant de crier"

<glousse>

- Peut être meme qu'on aura droit à l'entendre nous supplier mmmmmh !




- J' AI SOIF !! ENCORE!!!

repondant a l appel de la belle amun , le magh se saisi du pauvre animateur , et , dans un puissant elan , lui envoi l humain en hurlant un seul mot


CHAT !!!!!

J'ai l'impression que cette grande bâtisse est faite de papier, ou de plâtre peut-être... les murs s'effritent si l'on y râcle son couteau. Les pans de glace transparente qui nous sépare de l'exterieur explosent en paillette lorsqu'on s'appuye dessus. Même les objets étranges qui remplissent la demeure se brisent lorsqu'on les prend en main. La chose d'où sortaient les images et la voix n'a pas résistée à une enième bagarre entre Pessimis et Max. J'ai vu dans ses entrailles lorsqu'elle s'est ouverte. Il y avait des centaines de petits filaments colorés, qui se croisaient, s'entortillaient, et puis du métal, du métal qui attire le métal.. des choses sans queue ni tête. Depuis, ce sont d'autres inventions qui diffusent la voix, il y en a sur les plafonds, des petits ronds noirs percés de multiples trous. Ils nous rabâchent sans arrêt de nous mesurer, de nous calmer, de ne pas détruire notre lieu de vie.. que l'on nous aime !!!
Si je commence à devenir fou? Sûrement oui. Il n'y a aucune logique à ce que nous vivons.. Les autres ne vont pas mieux, ils se disputent, se divisent. Mais tous comprennent maintenant que quel soit l'endroit où nous nous trouvons, nous sommes très, très loin de chez nous.
Certains veulent partir...



Nous fouillons ce mur depuis des heures. Aucune voix ici, aucune boîte à image ni objet délirant, nous sommes cachés dans un des arbustes qui longe un des murs du jardin; A tour de rôle on creuse, on gratte, on s'écorche les doigts. Mais on avance, silencieusement.

-Héhé, l'air, je sens de l'air passer. chuchotte Tod.
-Fais voir! dis Max.
Je tend la main moi-même. Oh mais oui, Bingo! Allez, on pousse avec nos pieds, là, sur la pierre détourée, elle bouge bien.

Gniiiiiiiiiiiiiii! ...encore!!! Gniiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!!!


BAAAM!!!


Un pan du mur vient de s'écrouler. Une breche énorme vers la liberté.
-Il faut avertir les autres, on se casse! On a une heure avant l'aube.
-Héhé génial, Durotar nous voilà! s'écrit Tod.

Soudain, tous les luminaires du jardins s'allument en même temps. Une sirène stridente retentit. Et la voix:
-Vous ne pouvez aller nulle part! Rentrez immediatement.
Et là, des hommes habillés de noir et sortis d'on ne sais où se précipitent vers notre position.

-Allez gogogo! Tod, fufu maison, dis aux autres que c'est maintenant où jamais.
-Je file!. Et il disparaît.

Quatres hommes. Tod en sap un au passage.

-Max?
-Yeaaah.
Maxximmus bande ses muscles. Ouuaah, balèze!
-BASTOOON!!! et il fonce dans le tas.
Une tête vole. Une deuxième. Une détonation retentit, le troisième homme, les yeux exorbités de terreur à actionné son fusil de chasseur sur la cuisse de max. Je lui donne une fleur de vie et Max lui attrape la gorge et le jette à six mètres devant lui. Rush, coup de casque. Décès.

Tod revient alors vers nous suivis de tout notre groupe.
-On est partis! Il fourre sa lame négligeament dans le sternum de l'humain sapé. Ca risque d'être drôle.

La voix:
-Mais vous.. vous ne pouvez pas!